
NEW BRUNSWICK
Who We Are
New Brunswick’s Department of Natural Resources (DNR) is tasked with protecting the Provinces over 6 million hectares (15 million acres) of forested land from wildfires. Forested land covers about 83% of the total land base of the Province and is split approximately 50/50 between Crown (government) and private ownership.
During an average fire season there are about 250 wildfires that burn approximately 300 hectares (750 acres) of forest land with 75% of these wildfires happening before green-up in the spring. To combat these fires, DNR relies upon over 150 Forest Rangers along with a fleet of 6 air tankers (fixed wing aircraft), 40 fire engines, 1 tracked muskeg vehicle and several pieces of small equipment such as ATV’s and pumps. Local area fire departments also play a big part in wildfire suppression and are heavily relied upon in Urban Interface areas.
Areas of Concern
Urban Interface - Each year more and more citizens move from towns and cities into forested areas. This is often because of overcrowding in cities and lower purchase prices of housing. Unfortunately many of land owners are not familiar with the risks associated with wildfires. To help combat these risks, DNR works to educate people in making our homes and communities safe from wildfires by promoting the FireSmart fundamentals.
Debris Burning - Another concern is safe disposal of debris by burning. To help control burning during the Fire Season, New Brunswick uses a burning permit system. The system has for 4 categories of burn types:
Category 1 - is small woody debris burning (includes campfires), permission for this type of burning is given via a burn information line which gives residents information by telephone or on the web as to when burning is allowed and how burning can be conducted. There are three types of permissions:
Open – burning permitted
Restricted –burning permitted between 8pm and 8am
Closed- no burning permitted
Category 2 - is burning of large woody debris piles and requires field inspection and written permit issued by DNR.
Category 3 - is for burning exiting blueberry fields and requires a written burn plan, field inspection and burn permit issued by DNR.
Category 4 - is for prescribed burning and requires a written burn plan, field inspection and burn permit issued by DNR.
Commercial Forestry – A third concern is the risk of accidental fires caused by industrial operations. With the recent return of the budworm, (along with other insects and diseases), there is the potential of having large tracts of dead and/or dying forests. This increase in fuel load in any industrial operation would greatly affect the severity of an accidental wildfire. To help combat this hazard, we monitor our forests very closely for signs of infestation outbreaks. Also, to help reduce the risk of fires caused by industrial operations, we require all forestry operations to have a work permit and firefighting equipment on all work sites. Many of these operations are remote so to help with detection of any fire occurrences, we use our fixed wing aircraft to fly patrols across the province on high fire hazard days.
Qui sommes-nous?
Il incombe au ministère des Ressources naturelles (MRN) du Nouveau-Brunswick d’assurer la protection des plus de six millions d’hectares (15 millions d’acres) de terres boisées contre les incendies de forêt. Les zones boisées représentent environ 83 % du territoire total de la province. Elles sont réparties presque également entre terres de la Couronne (gouvernement) et terres privées.
Au cours d’une saison des incendies, on recense en moyenne environ 250 incendies de forêt. Ceux-ci brûlent quelque 300 hectares (750 acres) de terrains boisés et 75 % de ceux-ci se déclarent avant la période de feuillaison printanière. Pour lutter contre ces incendies, le MRN fait appel à plus de 150 gardes forestiers ainsi qu’à six avions-citernes (aéronefs à voilure fixe), 40 camions d’incendie, un véhicule à chenilles et plusieurs autres petits équipements tels que des véhicules tout terrain et des pompes à eau. Les services d’incendie de la province jouent également un rôle important en ce qui concerne la suppression d’incendies de forêt dans les milieux périurbains.
Préoccupations
Milieu périurbain – Chaque année, de plus en plus de citadins s’établissent dans des zones forestières. Cela est souvent dû à l’encombrement dans les grandes villes et au prix d’achat des maisons moins élevé en campagne. Malheureusement, nombre de ces nouveaux propriétaires ne connaissent pas les risques que présentent les incendies de forêt. Pour mieux faire comprendre ces risques, le MRN s’affaire à renseigner les gens sur les façons de protéger leurs maisons et leurs collectivités contre les incendies de forêt en faisant la promotion des éléments fondamentaux du programme Intelli-feu.
Brûlage de débris – L’élimination sécuritaire des débris est une autre source de préoccupation. Pour aider à contrôler le brûlage lors de la saison des incendies, le Nouveau-Brunswick utilise un système de permis. Le système comprend les quatre catégories suivantes :
Catégorie 1 – Il s’agit du brûlage de petits débris de bois (y compris les feux de camp). Pour savoir quand il est possible de procéder à ce type de brûlage et comment s’y prendre pour brûler les débris, on doit se renseigner par l’entremise d’une ligne d'information sans frais ou du site Web sur l'indice des feux. Il y a trois sortes de permission :
Brûlage permis
Brûlage limité entre 20 h et 8 h
Brûlage interdit
Catégorie 2 – Il s’agit du brûlage de gros tas de débris de bois, lequel nécessite l’obtention d’un permis du MRN ainsi qu’une pré-inspection du site par le personnel du Ministère.
Catégorie 3 – Cette catégorie vise les bleuetières existantes. Elle nécessite l’élaboration d’un plan de brûlage par écrit, une pré-inspection du site par le MRN ainsi que l’obtention d’un permis du Ministère.
Catégorie 4 – Il s’agit de brûlage prescrit. Cette catégorie nécessite l’élaboration d’un plan de brûlage par écrit, une pré-inspection du site par le MRN ainsi que l’obtention d’un permis du Ministère.
Exploitation commerciale des forêts – Le risque d’incendies accidentels causés par des activités industrielles est également préoccupant. La réapparition récente de la tordeuse du bourgeon de l’épinette (ainsi que d’autres insectes et maladies) pourrait donner lieu à de grandes étendues de forêts mortes ou dépérissantes. Cette augmentation de la charge de combustible influencerait grandement la gravité d’un incendie de forêt accidentel. Pour éviter cette éventualité, le MRN surveille les forêts de très près afin de détecter des signes d’infestation. De plus, pour aider à réduire le risque d’incendies causés par des activités industrielles, le Ministère exige que tous les exploitants obtiennent un permis de travail et qu’ils disposent de matériel de lutte contre les incendies sur tous leurs chantiers. Beaucoup de ces chantiers étant situés dans des endroits éloignés, le MRN utilise ses aéronefs à voilure fixe pour effectuer des patrouilles dans l’ensemble de la province, les jours où l'indice de danger d'incendie est élevé, afin de détecter les incendies.